Salut Cricrou,
Oui désolé, je n'ai pas répondu avec pertinence et me suis contenté de donner un point de vue (qui ne vaut que pour l'angle de vue que j'ai par définition
)
Si tu permets, je vais essayer de revenir de manière plus concrète sur ton post (en n'engageant que ma liberté pédagogique)
Pour répondre à
ta première question, pour ma part je pars du socle (le LPC est le garant d'une certaine égalité éducative....le BO sert à mon "pilotage". En bref le premier me plonge dans un paradigme des apprentissages (continuum), le second dans un paradigme enseignement disciplinaire (tendance disciplinariste). On voit tout ça avec un exemple concret si tu veux.
Ex:
Théma => Arts, rupture et continuité.
Problématique => La société de consommation.
Oeuvre en cours => "La complainte du progrès" (Vian) et A "crédit et en stéréo" (Mitchell)
(1° chanson rapport au texte débit, version lithanies => sacralisation de l'espace moderne,....)
(2° chanson rapport au texte => toujours l'énumération. On ne sacralise plus on ressent le poids de cette société jusqu'à notre mort. La musique rock <=> opposition avec la première).
Travail transdisciplinaire => Duanson (Supermarket lady : compilation d’élément; temple de la consommation;...)
Réponse à
ta deuxième question. Sur mon évaluation sommative (les formatives ne me permettant que de guider l'élève à s'approprier le travail), je notifie les items du LPC. Ici par exemple : compétence 1 item 7; Compétence 5 item 14; ...
Je me limite à 2 ou 3 items par séquence. Maximum 10 items/an. De séquence en séquence les items non validés sont réexploités.
Je ne cache pas que le travail est chronophage! Mais c'est un engagement que j'ai choisi. Ce qui m'intéresse c'est la réflexion autour de notre métier (l'exercice, le devenir, le positionnement,...).
En espérant être ce coup ci plus pertinent que dans le post précédent
Amicalement